C’est le nom de l’autre moitié que je suis allé chercher enAmérique… »
Nous entrions, à ce moment, dans la salle des témoins. Ils vinrent tousà
Rouletabille avec force démonstrations. Boutique En Ligne Lacoste Je
vousdis tout cela, monsieur Rouletabille, parce que j’ai une grande…
unegrande confiance en vous… Je sais que, vous, vous ne me soupçonnezpas
! … » « Le pauvre homme, continua Rouletabille, me répondait comme
ilpouvait, à hue et à dia. Il souffrait.J’eus pitié de lui, d’autant
plus que jeme rendais parfaitement compte qu’il se ferait tuer plutôt
que de me direqui était l’assassin comme Mlle Stangerson se fera plutôt
assassiner quede dénoncer l’homme de la «Chambre Jaune» et de la «
galerie inexplicable ». L’homme doit la tenir, ou doit les tenir tous
deux, d’une manièreterrible, « et ils ne doivent rien tant redouter que
de voirStangersonapprendre que sa fille est « tenue « par son assassin. »
Je fis comprendreàDarzac qu’il s’était suffisamment expliqué et qu’il
pouvait se tairepuisqu’il ne pouvait plus rien m’apprendre. Lacoste Pas Cher
Je lui promis de veiller et dene me point coucher de la nuit. Il
insista pour que j’organisasse une véritable barrière infranchissable
autour de la chambre de Mlle Stangerson,autour du boudoir où couchaient
les deux gardes et autour du salon oùcouchait, depuis la « galerie
inexplicable »,Stangerson ; bref, autourde tout l’appartement. Non
seulement je compris, à cette insistance, queM. Darzac me demandait de
rendre impossible l’arrivée à la chambre deMlle Stangerson, mais encore
de rendre cette arrivée si « visiblement »impossible, que l’homme fût
rebuté tout de suite et disparût sans laisserde trace. Lacoste Pas
CherC’est ainsi que j’expliquai, à part moi, la phrase finale dont il
mesalua : « Quand je serai parti, vous pourrez parler de « vos »
soupçonspour cette nuit àStangerson, au père Jacques, à Frédéric Larsan,
àtout le monde au château et organiser ainsi, jusqu’à mon retour, une
surveillance dont, aux yeux de tous, vous aurez eu seul l’idée. » « Il
s’en alla, le pauvre, le pauvre homme, ne sachant plus guère cequ’il
disait, devant mon silence et mes yeux qui lui « criaient » quej’avais
deviné les trois quarts de son secret. Oui, oui, vraiment, il devaitêtre
tout à fait désemparé pour être venu à moi dans un moment pareil et
pour abandonner Mlle Stangerson, quand il avait dans la tête cetteidée
terrible de la « coïncidence… » « Quand il fut parti, je réfléchis. Survetement Lacoste Pas Cher
Je réfléchis à ceci, qu’il fallait être plusastucieux que l’astuce
même, de telle sorte que l’homme, s’il devait aller,cette nuit, dans la
chambre de Mlle Stangerson, ne se doutât point uneseconde qu’on pouvait
soupçonner sa venue. Certes ! l’empêcher de pénétrer, même par la mort,
mais le laisser avancer suffisamment pour que,mort ou vivant, on pût
voir nettement sa figure ! Car il fallait en finir, ilfallait libérer
Mlle Stangerson de cet assassinat latent ! « Oui, mon ami, déclara
Rouletabille, après avoir posé sa pipe sur latable et vidé son verre, il
faut que je voie, d’une façon bien distincte, sa figure, histoire
d’être sûr qu’elle entre dans le cercle que j’ai tracé avec lebon bout
de ma raison. » À ce moment, apportant l’omelette au lard
traditionnelle, l’hôtesse fitsa réapparition. Rouletabille lutina un peu
Mme Mathieu et celleci semontra de l’humeur la plus charmante.
Survetement Lacoste Pas Cher « Elle est beaucoup plus gaie, me ditil,
quand le père Mathieu estcloué au lit par ses rhumatismes que lorsque le
père Mathieu estingambe ! » Mais je n’étais ni aux jeux de
Rouletabille, ni aux sourires de l’hôtesse ;j’étais tout entier aux
dernières paroles de mon jeune ami et à l’étrangedémarche deRobert
Darzac. Quand il eut fini son omelette et que nous fûmes seuls à
nouveau,Rouletabille reprit le cours de ses confidences : « Quand je
vous ai envoyé ma dépêche ce matin, à la première heure,j’en étais
resté, me ditil, à la parole deDarzac : « L’assassin viendra‘’peutêtre’’
la nuit prochaine. » Maintenant, je peux vous dire qu’il viendra «
sûrement ». polo lacoste pas cher
Oui, je l’attends. – Et qu’estce qui vous a donné cette certitude ? Ne
seraitce point parhasard… – Taisezvous, m’interrompit en souriant
Rouletabille, taisezvous,vous allez dire une bêtise. Je suis sûr que
l’assassin viendra depuis cematin, dix heures et demie, c’estàdire avant
votre arrivée, et par conséquent avant que nous n’ayons aperçu Arthur
Rance à la fenêtre de lacour d’honneur… – Ah ! ah ! fisje… vraiment…
mais encore, pourquoi en étiezvous sûrdès dix heures et demie ? – Parce
que, à dix heures et demie, j’ai eu la preuve que Mlle Stangerson
faisait autant d’efforts pour permettre à l’assassin de pénétrer dans sa
chambre, cette nuit, queRobert Darzac avait pris, en s’adressant àmoi,
de précautions pour qu’il n’y entrât pas… – Oh ! oh ! m’écriaije, estce
bien possible ! … » Et plus bas : « Ne m’avezvous pas dit que Mlle
Stangerson adoraitRobertDarzac ? – Je vous l’ai dit parce que c’est la
vérité ! – Alors, vous ne trouvez pas bizarre… – Tout est bizarre, dans
cette affaire, mon ami, mais croyez bien que lebizarre que vous, vous
connaissez n’est rien à côté du bizarre qui vousattend ! … – Il faudrait
admettre, disje encore, que Mlle Stangerson « et son assassin » aient
entre eux des relations au moins épistolaires ? – Admettezle ! mon ami,
admettezle ! … Vous ne risquez rien ! … Jevous ai rapporté l’histoire de
la lettre sur la table de Mlle Stangerson,lettre laissée par l’assassin
la nuit de la « galerie inexplicable », lettre disparue… dans la poche
de Mlle Stangerson… Qui pourrait prétendre que,« dans cette lettre,
l’assassin ne sommait pas Mlle Stangerson de lui donner un prochain
rendezvous effectif », et enfin qu’il n’a pas fait savoir àMlle
Stangerson, « aussitôt qu’il a été sûr du départ deDarzac », quece
rendezvous devait être pour la nuit qui vient ? » Et mon ami ricana
silencieusement. Il y avait des moments où je medemandais s’il ne se
payait point ma tête. polo lacoste pas cherLa porte de l’auberge
s’ouvrit. Rouletabille fut debout, si subitement,qu’on eût pu croire
qu’il venait de subir sur son siège une déchargeélectrique. « Mr Arthur
Rance ! » s’écriatil. doudoune lacoste pas cher
Arthur Rance était devant nous, et, flegmatiquement, saluait. Chapitre
Un geste de Mlle Stangerson« Vous me reconnaissez, monsieur ? demanda
Rouletabille augentleman. – Parfaitement, répondit Arthur Rance. J’ai
reconnu en vous le petitgarçon du buffet. doudoune lacoste pas cher
(Visage cramoisi de colère de Rouletabille à ce titre depetit garçon.)
Et je suis descendu de ma chambre pour venir vous serrerla main. Vous
êtes un joyeux petit garçon. lacoste pas cher
» Main tendue de l’américain ; Rouletabille se déride, serre la main
enriant, me présente, présente Mr ArthurWilliam Rance, l’invite à
partagernotre repas. « Non, merci. Je déjeune avecStangerson. » Arthur
Rance parle parfaitement notre langue, presque sans accent. lacoste pas
cher« Je croyais, monsieur, ne plus avoir le plaisir de vous revoir ;
nedeviezvous pas quitter notre pays le lendemain ou le surlendemain dela
réception à l’Élysée ? » Rouletabille et moi, en apparence indifférents
à cette conversation derencontre, prêtons une oreille fort attentive à
chaque parole del’Américain. La face rose violacée de l’homme, ses
paupières lourdes, certains ticsnerveux, tout démontre, tout prouve
l’alcoolique. Comment ce tristeindividu estil le commensal deStangerson ?
Comment peutil êtreintime avec l’illustre professeur ? Je devais
apprendre, quelques jours plus tard, de Frédéric Larsan – lequel avait,
comme nous, été surpris et intrigué par la présence del’Américain au
château, et s’était documenté – queRance n’était devenu alcoolique que
depuis une quinzaine d’années, c’estàdire depuis ledépart de
Philadelphie du professeur et de sa fille.
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