Robert Darzac entraînaMlle Stangerson dans les serres. Je suivais
toujours. Il faisait, ce soirlà,un temps très doux ; les portes sur le
jardin étaient ouvertes. Ralph Lauren pas cher Mlle Stangerson jeta un
fichu léger sur ses épaules et je vis bien que c’était elle quipriait M.
Darzac de pénétrer avec elle dans la quasisolitude du jardin. Jesuivis
encore, intéressé par l’agitation que marquait alors M. Robert Darzac. Ralph Lauren pas cher
Ils se glissaient maintenant, à pas lents, le long du mur qui
longel’avenue Marigny. Ainsi M. RobertDarzac agitil envers moi. – Mais
vous êtes, vous, persuadé de l’innocence de M. Robert Darzac ? – J’ai
cru un instant à la possibilité de sa culpabilité. Ce fut à l’heuremême
où nous arrivions ici pour la première fois. hoodies ralph lauren pas
cher Le moment est venude vous raconter ce qui s’est passé entre M. ralph lauren homme pas cher
Darzac et moi. » Ici, Rouletabille s’interrompit et me demanda si
j’avais apporté lesarmes. Je lui montrai les deux revolvers. Il les
examina, dit : « C’est parfait ! » et me les rendit. « En auronsnous
besoin ? demandaije. – Sans doute ce soir ; nous passons la nuit ici ;
cela ne vous ennuiepas ? – Au contraire, fisje avec une grimace qui
entraîna le rire deRouletabille. ralph lauren moins cher – Allons !
allons ! repritil, ce n’est pas le moment de rire. ralph lauren femme pas cher
Parlons sérieusement. Vous vous rappelez cette phrase qui a été le : «
Sésame,ouvretoi ! » de ce château plein de mystère ? – Oui, fisje,
parfaitement : le presbytère n’a rien perdu de son charme,ni le jardin
de son éclat. C’est encore cette phraselà, à moitié roussie, quevous
avez retrouvée sur un papier dans les charbons du laboratoire. – Oui,
et, en bas de ce papier, la flamme avait respecté cette date : «
octobre. » Souvenezvous de cette date qui est très importante. Je
vaisvous dire maintenant ce qu’il en est de cette phrase saugrenue.
Ralph Lauren Soldes Je ne saissi vous savez que, l’avantveille du crime,
c’estàdire le , M.
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