J’ai remarqué du reste qu’il s’était tenu dans l’ombre et qu’ilavait
continuellement la face baissée… ses yeux devaient chercher le binocle
perdu… Mlle Stangerson a eu à subir les poursuites et les attaquesde
Larsan sous un nom et sous un déguisement que nous ignorions maisqu’elle
pouvait connaître déjà. Polo Lacoste pas cher L’énervement était à son
comble.Et l’on attendait toujours Rouletabille. Des gens prétendaient le
connaîtreet le reconnaître ; et, quand un jeune homme, muni d’un
laissezpasser,traversait la place libre qui séparait la foule du palais
de justice, desbousculades se produisaient. On s’écrasait. On criait : «
Rouletabille !Voici Rouletabille ! » Des témoins, qui ressemblaient
plus ou moins vaguement au portrait publié par L’Époque, furent aussi
acclamés.L’arrivée du directeur de L’Époque fut encore le signal de
quelques manifestations. Lacoste pas cher
Les uns applaudirent, les autres sifflèrent. Lacoste pas cherIl y
avait beaucoup de femmes dans la foule. Dans la salle des assises, le
procès se déroulait sous la présidence deM. De Rocoux, un magistrat imbu
de tous les préjugés des gens de robe,mais foncièrement honnête. On
avait fait l’appel des témoins. J’en étais,naturellement, ainsi que tous
ceux qui, de près ou de loin, avaient touchéles mystères du Glandier :
M. Stangerson, vieilli de dix ans, méconnaissable, Larsan, M. Lacoste Homme pas cher
Arthur W. Lacoste Homme pas cher Rance, la figure toujours enluminée,
le pèreJacques, le père Mathieu, qui fut amené, menottes aux mains,
entre deuxgendarmes, Mme Mathieu, toute en larmes, les Bernier, les deux
gardesmalades, le maître d’hôtel, tous les domestiques du château,
l’employéde poste du bureau , l’employé du chemin de fer d’Épinay,
quelquesamis de M. et de Mlle Stangerson, et tous les témoins à décharge
de M.Robert Darzac. J’eus la chance d’être entendu parmi les premiers
témoins, ce qui me permit d’assister à presque tout le procès. Je n’ai
point besoin de vous dire que l’on s’écrasait dans le prétoire.Des
avocats étaient assis jusque sur les marches de « la cour » ; et,
derrière les magistrats en robe rouge, tous les parquets des environs
étaientreprésentés. Lacoste Femme pas cher
M. Lacoste Femme pas cherRobert Darzac apparut au banc des accusés,
entre lesgendarmes, si calme, si grand et si beau, qu’un murmure
d’admirationplus que de compassion l’accueillit. Il se pencha aussitôt
vers son avocat,maître HenriRobert, qui, assisté de son premier
secrétaire, maître AndréHesse, alors débutant, avait déjà commencé à
feuilleter son dossier. Beaucoup s’attendaient à ce que M. Stangerson
allât serrer la main del’accusé ; mais l’appel des témoins eut lieu et
ceuxci quittèrent tous lasalle sans que cette démonstration
sensationnelle se fût produite. Au moment où les jurés prirent place, on
remarqua qu’ils avaient eu l’air des’intéresser beaucoup à un rapide
entretien que maître HenriRobertavait eu avec le directeur de L’Époque.
Celuici s’en fut ensuite prendreplace au premier rang de public.
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