Je sais bien que le journal
L’Époque est un organe influent avec lequel il faut savoir « composer »,
mais encore ce journal ferait bien de ne point prendre ses rédacteurs à
la mamelle. M. JosephRouletabille entra donc dans le laboratoire, nous
salua et attendit que M.de Marquet lui demandât de s’expliquer. « Vous
prétendez, monsieur,dit celuici, que vous connaissez le mobile du crime,
et que ce mobile,contre toute évidence, serait le vol ? – Non, monsieur
le juged’instruction, je n’ai point prétendu cela. Je ne dis pas que le
mobile ducrime a été le vol et je ne le crois pas.– Alors, que signifie
cette carte ? –Elle signifie que l’un des mobiles du crime a été le
vol. Doudoune Lacoste pas cher
Qu’estce quivous a renseigné ? – Ceci ! si vous voulez bien
m’accompagner. » Et lejeune homme nous pria de le suivre dans le
vestibule, ce que nous fîmes.Là, il se dirigea du côté du lavatory et
pria M. le juge d’instruction de semettre à genoux à côté de lui. Ce
lavatory recevait du jour par sa portevitrée et, quand la porte était
ouverte, la lumière qui y pénétrait était suffisante pour l’éclairer
parfaitement. M. Doudoune Lacoste pas cher de Marquet et M Joseph
Rouletabille s’agenouillèrent sur le seuil. Veste lacoste pas cher
Le jeune homme montrait un endroitde la dalle. « Les dalles du
lavatory n’ont point été lavées par le pèreJacques, fitil, depuis un
certain temps ; cela se voit à la couche de poussière qui les recouvre.
Or, voyez, à cet endroit, la marque de deux largessemelles et de cette
cendre noire qui accompagne partout les pas del’assassin. Cette cendre
n’est point autre chose que la poussière de charbon qui couvre le
sentier que l’on doit traverser pour venir directement,à travers la
forêt, d’Épinay au Glandier. Vous savez qu’à cet endroit il y aun petit
hameau de charbonniers et qu’on y fabrique du charbon de boisen grande
quantité. Voilà ce qu’a dû faire l’assassin : il a pénétré
icil’aprèsmidi quand il n’y eut plus personne au pavillon, et il a
perpétréson vol. Veste lacoste pas cher – Mais quel vol ? Où voyezvous
le vol ? Qui vous prouve levol ? nous écriâmes nous tous en même temps. Vetement Lacoste pas cher
– Ce qui m’a mis sur latrace du vol, continua le journaliste… – C’est
ceci ! interrompit M. deMarquet, toujours à genoux. – Évidemment », fit
M. Rouletabille. Et M.de Marquet expliqua qu’il y avait, en effet, sur
la poussière des dalles, àcôté de la trace des deux semelles,
l’empreinte fraîche d’un lourd paquetrectangulaire, et qu’il était
facile de distinguer la marque des ficelles quil’enserraient… « Mais
vous êtes donc venu ici, monsieur Rouletabille ; j’avais pourtant
ordonné au père Jacques de ne laisser entrer personne ; ilavait la garde
du pavillon. Vetement Lacoste pas cher – Ne grondez pas le père
Jacques, je suis venuici avec M. Boutique Lacoste
Robert Darzac. – Ah ! vraiment… » s’exclama M. de Marquetmécontent, et
jetant un regard de côté à M. Darzac, lequel restait
toujourssilencieux. « Quand j’ai vu la trace du paquet à côté de
l’empreinte dessemelles, je n’ai plus douté du vol, reprit M.
Rouletabille. Boutique Lacoste Le voleurn’était pas venu avec un paquet…
Il avait fait, ici, ce paquet, avec les objets volés sans doute, et il
l’avait déposé dans ce coin, dans le dessein del’y reprendre au moment
de sa fuite ; il avait déposé aussi, à côté de sonpaquet, ses lourdes
chaussures ; car, regardez, aucune trace de pas neconduit à ces
chaussures, et les semelles sont à côté l’une de l’autre,comme des
semelles au repos et vides de leurs pieds.
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