Cela signifie que ce que les contribuables ont économisé d'un côté, ils
l'ont reperdu de l'autre, à travers la hausse exorbitante de la
fiscalité locale, l'augmentation des prélèvements sociaux et
l'accroissement des impôts indirects comme les droits sur le tabac ou
les taxes sur les carburants. Cela signifie surtout que le coût de
fonctionnement du pays ne parvient pas à diminuer. Quoi qu'il arrive, un
peu moins de la moitié de la richesse nationale est prélevée pour faire
fonctionner un État incapable de se réformer, de se montrer économe et
de réduire sa dette publique. Dans ces conditions, on voit mal comment
le futur locataire de l'Élysée et celui de Matignon pourront mettre en
oeuvre de nouveaux allégements fiscaux, réduire les taxes qui pèsent sur
les entreprises il en existe plus de soixante et mettre fin à cet impôt
sur la fortune, qui porte bien mal son nom puisqu'il frappe sans
distinction les créateurs d'emplois comme les propriétaires de logements
parisiens. A l'aube Doudoune Armani Homme pas cher L'ÉTRANGE BALLET
d'une campagne électorale où certains promettent des lendemains qui
chantent, il serait temps de prendre conscience que les pays qui ont
réduit leurs dépenses publiques, comme le Canada, la Finlande, la Suède
ou la NouvelleZélande, ont aussitôt connu plus de croissance et
d'emplois. Et que la future législature, sans renoncer à de nouvelles
baisses d'impôts, devrait être placée sous le signe de la maîtrise de la
dépense. C'est une question d'efficacité autant que de solidarité avec
les générations futures. Doudoune pas cher Soldes
qu'auront mené près d'une semaine durant deux des principaux alliés
des Américains dans la lutte antiterroriste va se clore ce soir par un
dîner à la Maison Blanche où l'hôte des lieux, George Bush, recevra le
président pakistanais, Pervez Musharraf, et son homologue afghan, Hamid
Karzaï. Ce dernier rendezvous, censé marquer l'importance de la relation
trilatérale unissant Washington, Islamabad et Kaboul, clôturera de
rudes journées. Bien qu'ayant reçu tour à tour le pakistanais Pervez
Musharraf et l'afghan Hamid Karzaï, le président américain ne paraît pas
être parvenu à atténuer les griefs opposant Kaboul à Islamabad et
Islamabad à Washington. Le président pakistanais Pervez Musharraf, qui
profitait de son déplacement pour lancer son autobiographie In the line
of fire Dans la ligne de tir tout juste publiée, s'est particulièrement
employé à susciter l'embarras de Washington. En affirmant d'abord que le
département d'État l'avait menacé au lendemain du Septembre de ramener
son pays à l'âge de pierre , s'il ne se ralliait pas au front
antiterroriste. Puis, en expliquant dans son livre, dont les bonnes
feuilles ont été Doudoune Sans Manches Armani Homme publiées par le
Times, que son pays avait reçu des millions de dollars de la CIA en
échange de la livraison de centaines de terroristes suspectés
d'appartenir à alQaida Nous en avons capturé et donné aux ÉtatsUnis.
Cela nous a permis d'obtenir des gratifications totalisant des millions
de dollars , écrit le président pakistanais qui, démentant dimanche des
rumeurs de coup d'État, s'est exclamé Dieu merci, nous ne sommes pas une
république bananière. Doudoune Adidas Homme pas cher
Le document lamine l'argument, répété par George Bush dans plusieurs
discours début septembre, selon lequel l'Amérique est en voie de gagner
la guerre contre le terrorisme. C'est embarrassant sur le fond et dans
la forme, car rien dans l'analyse des services secrets ne permet de
l'affirmer. La MaisonBlanche s'est précipitée pour produire l'un de ces
dossiers de propagande soutenant que la NIE reflète des déclarations
antérieures du président. Surtout, la conclusion des experts du
renseignement détruit la dernière justification de Doudoune pas cher
Soldes En à peine quatre pages sur la guerre avancée par
l'administration après les armes de destruction massive, la libération
du peuple irakien d'un tyran et la démocratisation du ProcheOrient, il
s'agissait de mettre l'Amérique plus en sécurité. Le constat est fait
que c'est le contraire qui se produit. La lecture du document invite à
conclure que l'administration est prise de vitesse par des terroristes
qui s'adaptent, recrutent, font usage de l'Internet et pourraient même
déteindre sur des mouvements nationalistes ou révolutionnaires. La
question, posée un jour à ses collaborateurs par le secrétaire à la
Défense Donald Rumsfeld, ressurgit dans la presse Sommesnous dans la
situation où plus nous travaillons dur, plus nous sommes à la traîne
George Bush balaye ces spéculations naïves Suggérer que si nous n'étions
pas en Irak nous verrions un scénario plus rose, avec moins
d'extrémistes rejoignant la mouvance radicale, requiert d'ignorer vingt
ans d'expérience , estimetil. Doudoune Adidas pas cher
la trentaine du document original , le tableau dressé est plus sombre
que ce que veulent bien reconnaître en général les responsables du
gouvernement L'Irak donne corps à une nouvelle génération de dirigeants
terroristes, estiment les espions et les analystes. Le conflit est
devenu le cri de ralliement des djihadistes, nourrissant un profond
ressentiment contre l'intervention américaine dans le monde musulman.
Plus grave, les activistes islamistes augmentent en nombre et en
dispersion . Dans les cinq ans à venir, estime la NIE de nouveau réseaux
et cellules ayant des intentions antiaméricaines apparaîtront
probablement. Or, la combinaison d'objectifs partagés et d'acteurs
dispersés rend plus difficile leur découverte et leur capture. Dommages
politiques considérables Rien de révolutionnaire pour la partie de
l'opinion américaine, désormais majoritaire, convaincue que l'invasion
de l'Irak fut une erreur. Mais les dommages politiques potentiels n'en
sont pas moins immenses.
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