Le pays se bat pour éviter un défaut de paiement en mars, en faisant
face aux grèves presque constantes des habitants.Le gouvernement grec
est pris entre deux feux, sous la pression augmentante des préteurs
internationaux pour mettre en place plus de réformes pénibles, des
réformes contre lesquelles les habitants réagissent avec des
grèves.Habitant grec"Ils nous ont appauvris, il nous ont complètement
appauvris, nous sommes un chaudron bouillonnant prêt à
exploser."Habitant grec"Ils ont bouleversé le pays ces deux dernières
années, ils nous ont rendus fous, à la fin, nous ne pourrons pas même
trouver du café à boire. Qu'est-ce que je peux dire sur ces gens-là, ce
ne sont pas des politiciens, ce sont des barbares."Les leaders des
partis grecs continuent leurs discussions sur quelle nouvelle austérité
ils accepteront pour obtenir une deuxième subvention de 130 milliards
d'euros. Des délais sur l'accord sont arrivés et repartis et il semble
que les leaders européens perdent patience avec Athènes. doudoune moncler femme
Ils ont déclaré que la Grèce devrait résoudre ses pourparlers de
subvention et trouver un accord avec les obligataires privés, et que
cela doit être approuvé par les préteurs internationaux de la Grèce,
l'UE, la BCE et le FMI, avant la mi-février. Cette fois le délai doit
être respecté, sinon Athènes ne pourra pas recevoir le fonds nécessaire
pour éviter un non-paiement désordonné en mars. Cela pourrait provoquer
des remous dans l'économie mondiale. Selon une source en contact avec
les négociatieurs, des progrès sont faits et Jane Foley de Rabobank
pense qu'ils parviendront éventuellement à un accord.Jane FoleyHaute
stratège monétaire de Rabobank"Bien sûr il n'y a pas de solution idéale
pour le peuple ou pour les leaders, ou vraiment pour tous ceux qui
concernés dans cette crise. Mais je pense que notre scénario central
maintenant est qu'à la 11ème heure ils parviendront probablement à
négocier une subvention pour éviter un non-paiement le 20 mars, bien
sûr, ça ne veut pas dire que le Grèce évitera le défaut de paiement à
l'avenir."Des investisseurs espèrent certainement une solution pour
bientôt. doudoune moncler pas cher
La Bourse grecque a augmenté de plus de 2% mardi, grâce à la bonne
performance des actions bancaires. La Grèce a également réussit à vendre
ses obligations d'Etat de 6 mois pour un rendement légèrement inférieur
à celui de janvier. Mais, inversement, d'autres Bourses européennes ont
baissé parce que ces investisseurs s'inquiètent de l'incertitude en
Grèce.La Grèce paralysée par une grève générale, les négociations sur la
dette se poursuivent La Grèce s'est retrouvée paralysée mardi par une
grève générale nationale de 24 heures organisée par des syndicats, au
moment où le Premier ministre Lucas Papademos et les dirigeants
soutenant son gouvernement de transition se réunissaient pour décider
d'un nouveau plan de renflouement afin d'éviter un défaut de paiment en
mars.Les hommes politiques grecs subissent des pressions de la part des
créanciers de l'UE et du FMI pour adopter de nouvelles mesures
d'austérité en échange d'un deuxième plan de secours de 130 milliards
d'euros (171,2 milliards de dollars).Les dirigeants n'ont pas réussi à
atteindre un accord avec les créanciers de l'UE et du FMI samedi et
lundi à Athènes.Les pressions montent également de la société grecque
qui lutte avec des taux de chômage élevés et une profonde récession
depuis le début de la crise de la dette en 2009. moncler pas cher
La plupart des services publics a fermé mardi, car les citoyens ont
participé à une grève contre les mesures d'austérité organisée par les
deux syndicats des travailleurs du secteur public et du secteur
privé.Les créanciers internationaux demandent la réduction des coûts du
travail et un abaissement des déficits afin de booster la compétitivité
et la croissance, mais les syndicats s'opposent fermement à d'autres
coupes dans les salaires et les retraites et d'autres importantes
suppressions d'emplois.Bravant les fortes pluies, près de 10000
manifestants se sont réunis devant le parlement mardi dans le centre
d'Athènes."Le dilemme qui se présente est que sans d'autres mesures
difficiles, nous connaitrons la banqueroute. Beaucoup de mes collègues,
de mes voisins et moi-même préférons une déclaration de banqueroute
claire à ce cercle sans fin d'austérité qui mène quoi qu'il en soit à la
misère", a déclaré Thanassis Dimitroulopoulos, employé paramédical à
l'hôpital public, à Xinhua.Pour lui, il connait déjà la banqueroute car
il ne peut plus vivre avec un salaire de 500 euros (658,45 dollars
américains)."Si on continue, les Grecs mourront d'austérité", a-t-il
ajouté.
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